Hubert Karann, célèbre chef d’orchestre, s’apprête à diriger la cinquième symphonie de Beethoven. (“Pom-pom-pom-pom”) Symphonie dont Beethoven disait “C’est le destin qui frappe à la porte” Et en effet, le destin frappe à la porte de sa loge sous la forme d’un inconnu: Henri Karpett, un fan on ne peut plus collant. Preuves à l’appui, ce fan lui démontre qu’ils sont nés le même jour, sous la même configuration astrale et que, malgré leurs différences sociales, ils ont un destin parfaitement identique. Sauf que ce fan est né deux heures avant lui. Donc tout ce qui arrive au fan, ça va lui arriver deux heures plus tard. Aussi quand ce fan, en pleurs, lui apprend qu’il vient tout juste d’être cocu... lui, l’immense maestro, il va obligatoirement l’être à son tour ? Et sur son lieu de travail, en plus ?! Il s'affole car toutes les prédictions du fan se concrétisent au fur et à mesure que le concert approche. À commencer par Sidonie, son épouse, qui débarque à l’improviste alors qu’elle n’assiste jamais à ses concerts. Notre héros va tenter l'impossible pour contrecarrer ce coup du sort qui semble imparable. D’autant plus qu’à l’heure dite, il sera sur scène, en train de diriger son orchestre, donc impuissant à empêcher quoique ce soit. Est-ce par orgueil qu’il se bat comme un fou pour éviter cet adultère ? Alors qu’il se dit raide dingue de Rébecca, une jeune violoniste de son orchestre. Et avec qui son épouse oserait-elle le trahir ? Avec Jean Philippe Camoulier, son manager ou plutôt son souffre douleur ? Un diabolique jeu du chat et la souris s’engage. Réussira-t-il à enrayer ce cocuage programmé ? Une course contre la montre, un tourbillon de rebondissements et coups de théâtre qui va entraîner ces cinq personnages dans des situations irrésistibles. Répliques percutantes, un tempo effréné, un suspense jusqu’à la coda finale...
car les faux culs sont beaucoup plus nombreux qu’on le croit !
avec Tex, Julie Arnold, Gilles Détroit, Emmanuel Donzella et Johanna Seror.
"Pièce que je vais monter dans une salle parisienne, c’est sûr !"
Ouest France « Une superbe symphonie théâtrale ! Cette pièce restera parmi les plus beaux moments. On le doit d'abord au scenario très original d'Olivier Lejeune qui a su concevoir une intrigue inédite, tout en restant parfaitement fidèle aux grands principes du vaudeville. »
Le Républicain Lorrain « Irrésistiblement drôle et pétillante, sans fausse note, l'effluve légère et spirituelle d'une comédie finement écrite par Olivier Lejeune qui, fidèle à son style, a trempé sa plume dans l'encre claire de la finesse, des traits d'esprits et des dialogues finement ciselés. La chute finale tombera bien loin de celle attendue »
Les Dernières Nouvelles d'Alsace « Le pièce a tenu toutes ses promesses. Le public a énormément ri et s'est régalé. Dans la salle, c'est du délire au fur et mesure que les situations les plus invraisemblables se précipitent à un rythme d'enfer.